L'édition automne 2014 du Baromètre Féfaur offrira en outre la possibilité d’apprécier quelles évolutions sont intervenues depuis sa précédente édition il y a deux ans. Un aspect qui devrait retenir l’attention des speakers - Corinne Bidallier (Cornerstone OnDemand) et Michel Diaz (Féfaur) - lors du Webinar du 6 novembre 2014. Lequel vient à point nommé pour répondre à toute une série de questions que les appels d'offre en cours reflètent souvent.

Et les premières d'entre elles, qui portent en particulier sur le fonctionnel LMS (Learning Management System) : les entreprises se contentent-elles principalement (comme en 2012) d’utiliser les fonctionnalités dites de base - diffusion et assemblage de modules e-learning, évaluation des connaissances,  tracking et reporting - ou se sont-elles ouvertes entre temps aux nombreuses possibilités offertes par ces plateformes : blended learning, social learning, e-commerce, etc. ? Et puisque il sera question de comparer les "photographies 2012 et 2014", le mode SaaS a-t-il poursuivi son irrésistible ascension, ou le mode licence résiste-t-il a contrario mieux que prévu ? Des réponses attendues, par ailleurs, sur le mouvement qui pousse les grandes entreprises vers un LMS corporate en remplacement des multiples plateformes parfois utilisées dans leurs divers métiers et géographie.

Au-delà de cet éclairage déjà utile, la deuxième édition du Baromètre Féfaur donnera des indications sur les coûts réellement supportés par les entreprises : coûts du projet attachés aux phases de choix et de  déploiement ; coût d'exploitation “en vitesse de croisière”… La relative modicité de ces coûts, qui avait été une bonne surprise de l'édition 2012, sera-t-elle confirmée ? Le fait est que la plupart des solutions LMS disponibles sur le marché sont aujourd'hui dans les moyens des PME. Autre domaine passé en revue dans ce 2ème Baromètre : la cartographie des acteurs et de leurs rôles dans la définition et la mise en oeuvre de la stratégie plateforme… Une stratégie qui reste un projet d'entreprise, et continue de nécessiter le support de la DSI malgré le développement du Cloud et d’une approche Agile qui donne parfois à croire qu’on n’en a plus besoin !

Les éditeurs de solution seront sans doute intéressés par ce point d’avancement sur la convergence annoncée (martelée) entre gestion de la formation et des talents. Il se dit en effet que la formation ne peut se permettre plus longtemps de fonctionner en silo, et qu’elle trouve une partie de sa légitimité dans le service des grands processus RH (recrutement, intégration, gestion de la performance, etc.)… Ce message, qui trouve un écho de plus en plus favorable auprès des décideurs formation-RH, est-il pratiquement relayé dans l'implémentation des plateformes sur le terrain ? Dans quelle mesure ces “talent management systems” mordent-ils sur les SIRH souvent installés de longue date dans les entreprises ? Utilisateurs et managers, métiers, RH : les grands partenaires d'une gestion de la formation et des talents moderne et souple sont amenés à collaborer toujours plus étroitement, chacun avançant sur cette voie à son propre rythme, chacun avec ses propres enjeux pas toujours simples à concilier. Au-delà du marketing fournisseurs, l’usage que les entreprises ont de ces plateformes traduit quelle valeur leur est effectivement reconnue. C’est en cela qu'une étude comme le Baromètre est aussi un outil d’aide à la décision au moment où l’entreprise envisage d’y investir. Réponses le 6 novembre.

Inscription gratuite (dans la limite des places disponibles) : Gestion de la formation et des talents : quelles plateformes pour quels usages

Les participants recevront l'étude complète.

JLB