Innovations numériques, nouveaux usages, transformation des dispositifs de formation… le tout sans cesse s’accélérant… la fonction veille est plus que jamais prioritaire pour les équipes formation-RH, et la connaissance des tendances pour orienter leur stratégie en 2018.
La veille est une nouvelle nécessité impérieuse pour les départements formation. Rien de surprenant au fond, et la chose est plutôt agréable : on a aussi choisi le métier de formateur par goût d’apprendre, de découvrir, d’innover. La nouveauté, c’est le rythme auquel… les nouveautés s’enchaînent dans la formation comme dans l’ensemble des activités. Se tenir informé donc. Pas seulement pour se mettre au niveau des métiers et collaborateurs de l’entreprise - affaire de légitimité de la formation ! Si possible pour être en avance, et faire oeuvre pédagogique : quand un client interne ou externe pose une question, voire demande un format de formation particulier, le responsable formation doit être capable de répondre, voire d’informer son client sur la valeur pédagogique du format demandé (pour éventuellement s’accorder sur un meilleur choix).
Il y a une autre raison, encore plus fondamentale, à cette activité de veille, en particulier en matière de connaissance et de compréhension des tendances. C’est son impact sur le design de la stratégie de formation. Les responsables doivent être capables de décider des actions, d’anticiper leurs investissements dans les contenus, les plateformes et les services à partir d’une information aussi fiable et complète que possible. Cette information est multi-dimensionnelle ; elle porte sur les outils et méthodes, sur ce qui permet d’engager les nouveaux apprenants dans leurs apprentissages, sur les attentes des métiers, sur les processus qui permettront de produire et de diffuser plus rapidement des offres individualisées, de les évaluer.
Plusieurs défauts de cette information, qu’on ramasse à la pelle sur le Web : elle est pléthorique ; elle est souvent intéressée (délivrée par des acteurs qui ont intérêt à promouvoir telle tendance plutôt que telle autre) ; elle est “hors sol” : plus près d’une profession de foi (ce à quoi on voudrait que la réalité se plie) que d’une valeur concrète, réelle pour les clients de la formation.
C’est au contraire que vise le webinaire annuel sur les tendances du digital learning, qui sera donné le 25 janvier à 11h par Michel Diaz, Directeur associé de Féfaur, et Xavier Sillon, CEO de Vodeclic : réfléchir aux lignes de force du digital learning, aux paris que les responsables formation peuvent faire sans prendre de risques, aux approches qui leur permettront de se synchroniser avec les tendances qui existent dans les autres métiers de l’entreprise. Seront en particulier abordées les questions du “retour de l’humain” dans la formation, de la généralisation et des conséquences de l’approche “on demand”, de l’impact du “modèle Netflix” sur les offres et activités de formation…
Un webinaire, en somme, sur les tendances qui permettront de construire les dispositifs de formation en 2018.
Pour s’inscrire au webinaire du 25 janvier de 11h à 12h : Les tendances du digital learning 2018+, les participants recevront le Livre Blanc Féfaur-Vodeclic dont les principales conclusions seront restituées dans le webinaire.
JLB
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